Quel que soit leur nom, toutes ces communautés sont originaires du Sud Ouest de l’Inde où ils exercaient des métiers définis comme impurs par la société brahmanique : ferrailleurs, fossoyeurs, saltimbanques. Les personnes exerçants ces métiers étaient interdits de sédentarisation.

Vers 1200, des centaines d’entre eux migrent vers l’Asie centrale pour se mettre au service des Mongols (Gengis Khan) moins regardants sur leurs professions.

Au XIVème siècle ils s’installent en Europe de l’Est où ils se sédentarisent et se mettent au service des grands domaines agricoles.
D’autres poussent jusqu’en France. D’autres s’installent en Espagne en passant par l’Egypte.

Pourquoi différents noms ?
Ces noms leur ont été souvent donnés par les différentes sociétés dans lesquels ils se sont installés.  

Rom (Roumanie, Bulgarie) signifie « homme » en Hindi.
Gitan (Espagne et Sud de le France) vient de l’espagnol Gitanos (Egyptiens).
Manouche ( Europe de  l’Ouest) vient du sanscrit et signifie « être humain »

Tsiganes est un terme péjoratif venant du grec  faisant référence à une  secte arménienne qui se développait en Europe de l’Est à l’époque de l’arrivée des Roms.
Le mot « Bohémien » était également utilisé parce que le roi de Bohème leur avait accordé un passeport de circulation.

Il existe de nombreuses sous-divisions des communautés Roms se rapportant aux professions que leurs ancêtres exerçaient .

Très tendance, le manscaping désigne l’ensemble des soins du corps pour les hommes : épilation du torse, des jambes et…des testicules.

Le combover, c’est cette horrible coiffure adoptée par les hommes qui cachent leur calvitie avec une grande mèche de cheveux.

 

 

 

 

 

 

combover

Non, ce n’est pas un Droit Individuel à la Formation. Quoi que.
Le dilf, c’est le « dad i’d like to fuck », le fantasme du père de famille sexy.
C’est l’équivalent de la célèbre Milf.

Attention : le Dilf est avant tout un fantasme gay.

C’est la capacité à rebondir ou tout simplement à retrouver un état psychologique normal après un traumatisme.
Le mot est à l’origine utilisé pour les matériaux qui retrouvent leur état initial après avoir été déformés.

Depuis des siècles, on utlise tout simplement le tannin pour tanner les peaux.

Et c’est quoi le tannin ?
Il s’agit de substances organiques contenues dans l’écorce de chêne, de châtaigner, obtenues grâce à un moulin à tan.  
Ce sont les mêmes que l’on retrouve dans le vin qui a vielli en tonneau de bois.
Les peaux trempaient plusieurs mois dans un bain de tannin pour transformer les protéines du cuir en produit insoluble resistant à la décomposition organique. Le tannin a, entres autres, des propriétés antiparasitaires.
On utilise aujourd’hui des substances chimiques pour la tannerie.

Cette action sur les protéines explique également le goût astringent des vins dit « tanniques ». Les tannins empêchent la lubrification de la bouche, d’où cette empression d’assèchement.

Des expériences ont démontré que l’on pouvait cuire un poisson à basse température (60°C)  avec son lave-vaisselle. Le poisson est dans un sachet hermétique et peut cuire avec de la  lessive et de la vaisselle sale !

Cette cuisson en papillotte  ne garantit toutefois pas une température suffisante pour être sûr de tuer les bactéries.

Découverte au XIIème siècle, la technique de cuisson du bain-marie fut utilisée par les alchimistes avant de l’être par les cuisiniers. Marie serait ici une référence à Marie la Juive, une alchimiste du 3ème siècle après JC.

Si l’origine exacte  n’est pas avérée, deux possibilités tiennent la corde pour cette expression apparue dans les années 30.

La première ferait référence au monde de la prostitution. le « kiki » était le micheton, le client. Les dames de petites vertus utilisaient l’expression pour accepter le marché et donner le départ vers la chambre.

Une autre version privilégie le sens de « gorge » pour « kiki » (d’où serrer le kiki = étrangler). « C’est parti mon kiki » accompagnait le dernier verre avant de prendre la route.

On se sait pas kiki a raison.

Originaire de Polynésie, le surf se pratiquait historiquement avec des Longboards (grande planche épaisse , stable mais pas très maniable, sur laquelle le surfeur avance et recule pour moduler la vitesse).

Dans les années 60, les progrès techniques (arrivée de la fibre de verre, de la résine et polyuréthane) permettent l’arrivée des shortboards ( 1,5 à 2 m, très maniables mais plus instables).

Inventé par le californien Tom Morey, le Bodyboard se pratique allongé (ou sur un genou) sur une planche plus courte (1m) de forme rectangulaire (la biscotte). Le bodyboarder a généralement des palmes.

Le skimboard (planche très fine sans dérive) consiste à glisser sur la pellicule d’eau du bord de la plage pour prendre de l’élan et sauter sur la vague suivante.

Le paddleboard se pratique avec une planche longue conçue pour parcourir de longues distances en ramant avec les bras. Le rescue board très populaire en Australie est la variante utilisée par les sauveteurs.

Le kneeboard se pratique à genou avec une planche légèrement plus courte et plus large qu’un shortboard.

Le Wave Ski ou Kayak Surf se pratique avec un kayak de mer ouvert sur lequel le kayakiste est assis et pagaie pour surfer les vagues.

Rien à voir avec le Stand U Paddle (SUP) qui consite en une planche de longboard équipée de fixations pour les pieds et pratiqué debout avec une pagaie.

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