Une de plus chaque jour (ou presque)
En langage « banlieue », le rageux est un jaloux. Dans le monde du jeu en ligne, le terme désigne les joueurs qui passent leur temps à insulter les autres (avec plin de fot d’hortaugraf’).
Il s’agit d’un jeu de mot involontaire. (Du grec kakos (« mauvais ») et phaton (« ce qui est dit »). Exemple célèbre : « Vous me connaissez mal : la même ardeur me brûle / Et le désir s’accroît quand l’effet se recule » Corneille, Polyeucte. »
Rien à voir avec une pratique skinhead. Se cogner le petit juif, c’est se cogner le coude, avec cette sensation de décharge électrique si désagréable. Le petit juif est en effet l’un des surnoms du nerf ulnaire qui passe tout près de la pointe du coude pour relier la paume de la main. Pourquoi ce […]
La phrase vient du monde de la prostitution et désigne les plus praticiennes les plus âgées. Jeunes et jolies, les clients ne demandent pas la monnaie après avoir fait leur petite affaire. Mais quand la dame est moins fraîche, ils sont plus regardants.
C’est Michel Audiard qui a créé ce néologisme de toutes pièces pour la célèbre scène du conseil d’administration des Tontons Flingueurs (1963) Bernard Blier/Raoul Volfoni : » Non mais t’as déjà vu ça ? en pleine paix, y chante et pis crac, un bourre-pif, mais il est complètement fou ce mec ! Mais moi les […]
Les deux mots viennent du mot latin « Vagina » qui signifie « gousse » ou « étui ». En revanche, pas de trace du mot abricot.
En Normandie, la potine était un petit pot de terre cuite permettant de se chauffer les pieds, autour duquel les femmes se rassemblaient pour discuter.
A la grande époque des perruques, les coiffeurs (perruquiers) devaient les poudrer pour masquer la crasse (on n’utilisait pas d’eau). Ces poudres étaient parfumées et contenaient de l’amidon. Les coiffeurs vaporisaient abondamment la poudre sur le client qui se masquait le visage avec un cornet en carton. Le coiffeur lui se retrouvait « enfariné » comme les […]
En argot ivoirien (et maintenant français), il s’agit d’une femme.
Ce peps est une abréviation de « pepper » (poivre en anglais), réputé pour ses vertus toniques et revigorantes. Les américains parlent aussi de pep talk pour les discours d’encouragement des entraîneurs.
Une info, une anecdote, une astuce...de plus que j'ai apprise dans la journée