Une de plus chaque jour (ou presque)
L’équivalent de l’acoustique et de l’optique, pour le toucher.
Il s’agit de la langue des signes ou plus précisément, du fait de se faire comprendre sans paroles. Ce mot a été inventé en 1889 par l’écrivain Henri Gaillard, lui même sourd, à partir de deux mots grecs :Noétos = intelligible, compréhensible, et Alalie = sans parole.
Elles ne sont autorisées que pour les pharmacies et les services d’urgence.
In: Animaux et flore
18 fév 2014Les espèces néoténiques ont la particularité de conserver leurs caractères juvéniles (voire larvaire) à l’âge adulte.
C’est le cas des axolotes ( salamandres mexicaines) et de Laurent Romejko.
Au Moyen-Age, les monastères devaient héberger les nombreux pèlerins qui sillonnaient l’Europe. A l’époque, la bière (fermentée) était beaucoup plus saine que l’eau, souvent infectée. Pour éviter de tuer leurs invités, les moines ont donc développé un savoir-faire et des recettes qu’ils pouvaient se transmettre (ils étaient les rares à savoir lire et écrire). La qualité de la bière dépendait du rang social du pèlerin.
In: Bière
9 fév 2014Les sous-bocks de bière et par extension, tous les objets liés à la bière.
Larry. C’est un jeu de mot en hommage au célèbre joueur de basket des Cetlics de Boston : Larry Bird.
Qu’elles stimulent (cocaïne, amphètes) ou détendent (opium, cannabis), les drogues provoquent toute une libération de dopamine dans le cerveau. Cette molécule fabriquée par les neurones procure une sensation de bien-être. Mais libérée en grande quantité, la dopamine perturbe le « circuit de la récompense ». Pour faire simple, le cerveau va considérer un niveau élévé de dopamine comme le niveau standard de satisfaction. Ce qui crée le manque et la dépendance.
C’est le sophisme du joueur : la conviction que la probabilité d’un évènement augmente ou diminue en fonction des occurrences précédentes
Alors qu’à chaque jet (dés, roulette) ou chaque tirage (loto), tout repart à zéro.
Exemple : le quatre est sorti 3 fois de suite, je rejoue le 4.
Lu dans SVJ
A l’époque , les revolvers étaient à simple action. Il fallait donc armer le chien pour pouvoir tirer. Il était possible de le faire avec le pouce de la main tenant l’arme. Dans le cas d’un duel, il était plus rapide d’utiliser l’autre main. Pour tirer plusieurs fois, l’index restait sur la détente et on armait le chien à répétition. La manoeuvre était plus efficace quand le revolver était au niveau de la hanche.
Une info, une anecdote, une astuce...de plus que j'ai apprise dans la journée