Son père biologique s’appelait Abdulfattah Jandali. Sa mère était une américaine d’origine suisse. Ses parents n’étaient pas mariés et sous la pression de la famille maternelle, Steve est confié à des parents adoptifs : Paul et Clara Jobs.

A la grande époque des perruques, les coiffeurs (perruquiers) devaient les poudrer pour masquer la crasse (on n’utilisait pas d’eau). Ces poudres étaient parfumées et contenaient de l’amidon. Les coiffeurs vaporisaient abondamment la poudre sur le client qui se masquait le visage avec un cornet en carton. Le coiffeur lui se retrouvait « enfariné » comme les petits poissons (merlans) prêts à frire.

Le massacre a eu le 11 septembre 1857, à Mountain Meadows, dans le Sud de l’Utah.

A l’époque, les Mormons sont en conflit (encore pacifique) avec le reste des Etats-Unis qui leur reproche la polygamie.
De nombreux Mormons ont été tués ou chassés de différents Etats (en particulier le Missouri).

Le drame se noue lorsqu’une caravane de chariots en direction de la Californie traverse le Sud de l’Utah. Lors d’une halte prolongée, les émigrants (composés de nombreux Missouriens anti-mormons) auraient empoisonné une carcasse de boeuf, histoire de tuer quelques indiens (alliés des Mormons).

Furieux, les Indiens décident d’attaquer la colonne. Les Mormons, qui d’habitude calment le jeu, ne bronchent pas. Pire, 50 miliciens mormons se joignent aux Indiens.

Ils organisent même un piège particulièrement odieux. Les 50 miliciens proposent aux émigrants de se rendre et de les accompagner à Cedar City pour les mettre en sécurité. Les colons acceptent. Sur le chemin de la captivité, les Mormons se retournent contre leurs prisonniers et des centaines d’indiens surgissent. Plus de 120 émigrants (hommes, femmes et enfants) sont massacrés. Seule une quinzaine d’enfants de moins de 6 ans est épargnée.

La hiérarchie mormone, qui sera informée trop tard pour empêcher le massacre, en condamnera les auteurs.

A l’origine, le « Giallo » (jaune) est un roman policier (le jaune était la couleur de la couverture des livres). A partir de 1960, il désigne un genre de cinéma d’exploitation, très racoleur, mêlant intrigue policière, horreur bien sanglante et érotisme.
Les réalisateurs « stars » du genre sont Mario Bava ( auteur de l’original de Django Unchained) et Dario Argento ( Le chat à 9 queues).

Le vapeur de Cleveland est une pratique sexuelle consistant à déféquer sur la poitrine de sa/son partenaire puis de faire des va-et vient à la manière d’une roue à aube de bateau à vapeur.

Double sens très prisé par les américains à l’humour gras.

C’est l’un des rares mot au monde à avoir cette particularité…et à faire de nous des ventriloques.

Après consultation, la plupart d’entre eux ignorent leur existence. Quand ils en ont entendu parler, ils parlent de « Red Indians ».

Il s’agit de blocs de viande de 10 à 20 kg utilisés dans l’industrie agro-alimentaire pour la fabrication de viande hachée. Le minerai est composé des déchets de découpe de viande (petits morceaux non utilisables) et de tissus graisseux. En gros, tout ce qui reste après la découpe des morceaux nobles (en dehors des abats).

Un peu moins de 100 ans avant la destruction du Wall Trade Center, cette tragédie fit plus de 1000 victimes, pour la plupart des femmes et des enfants. Le 15 juin 1904, ce bateau à vapeur affrété par l’Eglise Luthérienne Saint Mark prend feu lors d’une excursion sur l’East River, à New York. L’absence de canots de sauvetage explique le bilan particulièrement lourd.

Les « Sous-vêtements du Temple » symbolisent leur alliance sacrée avec Dieu. Celui-ci a en effet ordonné à Adame et Eve de se vêtir avant de les chasser du Jardin d’Eden.
Mormons-underwear

Ils leurs sont remis lors de leur première venue au Temple et sont censés être portés en permanence (sauf pour la toilette et les relations sexuelles) toute la vie. Les femmes doivent porter leur soutien-gorge par dessus le sous-vêtement sacré. Il existe même un site consacré à ces sous-vêtements.

Un site officiel est même consacré à cette pratique : http://www.mormon-underwear.com/

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