Aujourd'hui j'ai appris…

Cette bière écossaise à base (entre autres) de baies de genièvre s’appelle « the end of the world ».
En 2010, lors d’une vente un peu spéciale, les bouteilles ont été vendues 840 €. Elles étaient présentées dans des écureuils empaillés.

Au XIXème siècle, les principaux acheteurs de vins de Bordeaux étaient les Anglais, qui se faisaient livrer en barrique de 225 litres (50 galons). La bouteille de 0,75 l a été adoptée car 300 de ces bouteilles correspondent à 225 l.

Alors que notre cuisine n’est pas spécialement plus « diététique » que celle de nos voisins anglais ou allemands, le nombre d’accidents cardio-vasculaires est trois plus faible chez nous.
Ce « french paradox » s’explique en partie par la structure des repas français (entrée, plat, fromage, dessert) qui permet de varier les aliments. Les repas à heures fixes (57% des Français déjeunent à 12h30) évitent quant à eux le grignotage. La culture du goût et du plaisir joue également. Quand on savoure, on mange moins.

Très française, cette pratique consiste à prendre son repas à plusieurs. C’est l’une des bases de la convivialité.
Le nom vient de « commensal », un mot du moyen-age signifiant « compagnon de repas ».