L’invention du vibromasseur remonte à l’ére victorienne, aux alentours de 1880. A cette époque de grande pudibonderie (et donc de méga frustration sexuelle) les femmes de la haute société souffraient fréquement de dépression et de crises d’hystérie ( irritabilité, angoisse).    

Les médecins attribuaient alors cette pathologie à un dérèglement de l’utérus. Le traitement consitait à un massage vaginal permettant de détendre la patiente. L’orgasme était appelé le « paroxysme hystérique ».
Fatigué par ce travail éreintant, un médecin eut alors l’idée d’un masseur électrique (après des essais avec un vibro à vapeur) permettant de remplacer la main de masseur.
 
On vit donc des dizaines de femmes « très bien » prendre rendez-vous pour des séances de vibromasseurs. Avec l’arrivée de l’électricité dans les foyers, ces dames purent par la suite effectuer leur traitement à domicile.

vibrator

Hysteria, un film retraçant l’histoire de cette invention sortira en 2011.

Découverte « à chaud » sur la plage ce week-end.

Il faut frotter la zone touchée avec du sable sec pendant 5 minutes pour enlever les filaments urticants (les cnydocites qui libèrent des toxines paralysantes)  puis rincer à l’eau de mer (l’eau douce active le venin).

Parmi ses nombreuses vertus ( digestive, aphrodisiaque   ) le poivre a la faculté d’accélérer la cicatrisation grâce à un alcaloïde anti-bactérien : la piperine. Les cuisiniers maladroits ont d’ailleurs l’habitude de saupoudre de poivres les petites plaies.

Il a 542 ans alors que ses jeunes compagnons ne sont que des petits centenaires.

Le terme est  utilisé à partir des années 60 pour désigner les films (souvent de Série B et souvent italiens) dont l’action se déroule dans l’Antiquité.
Mais ça veut dire quoi « peplum »?
Et bien, il s’agit d’une tunique en latin.

Il s’agit en fait d’une déformation de « payer en épices ».
A l’époque celles-ci (comme le poivre) étaient si chères que l’on pouvait payer directement avec quelques grammes de ces précieux aliments.

Le mot épices est également à l’origine du biscuit Speculoos.

En revanche rien à voir avec le Speculum qui comme le verbe spéculer vient du latin speculare (observer).

Et à raison d’une info de plus par jour, nous arrivons donc à 730 articles depuis le 18 août 2008.

Vous êtes en moyenne 200 à visiter le site chaque jour (parmi lesquels quelques fidèles que je remercie chaleureusement). Et tout cela nous fait environ 60 000 pages vues en 1 an.

Depuis un an, le top 10 des articles les plus consultés a bien entendu évolué mais quelques sujets de la première saison restent bien ancrés dans le haut du tableau :

La maladie des frères Bogdanov s’accroche à la place N°4
La définition d’un « douchebag » suit de près en N° 5 talonnée par
L’origine du terme « Frères Siamois » à  la place N°6

Ils devancent de peu les nouveaux venus de la saison 2

la biffle (N°7)
pourquoi on a l’impression que la Joconde nous suit des yeux (N°8)
la signification de l’expression « ça passe crème » (N°9)
le tregging (N°10)

Et cette année, sur le podium nous retrouvons (roulement de tambour)

En N°3 : « ce que veut dire invictus » grâce au film de Clint Eastwood.
En N°2 : la définition précise de la viande halal grâce à la polémique du Quick
En N°1 : la définition d’une femme cougar (bande de petits dégoûtants).

Rendons également hommage aux plus gros bides de ce site
« Pourquoi les oreilles se bouchent en altitude »
« Le signification du signe de la main des métalleux »
« Le sens du verbe lisbroquer »

Merci à tous et en avant pour la saison 3.

Ils doivent cette teinte particulière à un colorant naturel, riche en carotéïne : le rocou.
Cette « teinture » vient du fruit du Rocouyer, un arbuste d’Amérique du Sud, dont on utilise l’enveloppe séchée.
Les Indiens s’en servaient pour se colorer la peau (d’où le surnom de Peaux Rouges).
On retouve également le Rocou dans la coloration du Haddock ou comme épice dans certaines sauces mexicaines.

mimoletterocou

Cette invention de Robinson permet de survivre dans les endroits où il n’ y a pas d’eau potable en distillant (et donc en épurant) les liquides à disposition (eau de mer, eau de pluie…et même urine).

Comment ça marche ? Dans un grand récipient  (ou à défaut un trou en forme de cône) on place un seau autour duquel on verse le liquide (ou pas : dans certains endroits l’humidité du sol peut suffire).
On recouvre le tout d’une feuille plastique.

Le soleil va faire chauffer le tout. Par condensation, des goutellettes d’eau « propre » vont s’agglutiner sour le plastique avant de retomber dans le seau.  

Ce type d’Alambic permet d’obtenir 1 à 2 litres d’eau potable en 24 heures.

 Arrivées en France dans les années 60, les pages jaunes sont une adaptation des Yellow Pages américaines. Le concept est né en 1883, quand un imprimeur du Wyoming, à cours de papier blanc, imprima l’annuaire sur du papier jaune. Séduit par le rendu, Reuben Donneley, décide en 1886 d’utiliser le principe pour son annuaire professionnel.

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